Antoine de Maximy, j’irais dormir chez vous… au Cambodge

La maintenant très célèbre série tv documentaire réalisée par Antoine de Maximy et coproduit par Bonne Pioche / Voyage avec la participation du CNC crée en 2004, d’une durée de 52 minutes nous emporte au cœur des villes et jusque dans les maisons des locaux, je veux bien sur parler de l’émission ‘j’irais dormir chez vous’. Le documentaire nous fait suivre le séjour particulier d’Antoine de Maximy qui se donne comme défit d’aller dormir chez les habitants des pays qu’il traverse. Armé seulement de ses deux caméra dont une bricolé maison pour tenir sur son épaule et ainsi se filmer lui même car il par à l’aventure seul et sans caméraman, et avec une bonne dose de débrouillardise et de sympathie il arrive presque toujours à ses fins pour notre plus grand bonheur. En effet, de par son initiative on s’immerge bien plus facilement dans l’ambiance et la culture d’un pays, d’une région , d’une ville ou bien même d’un quartier. En résumé, un documentaire qu’il vous faut absolument découvrir.

Et cela tombe bien car cet été France 5 rediffuse les anciennes saisons ( avant la saison 2011 pour laquelle on aura droit entre autre à la Corée du sud ) tous les samedi à 19h.
Et le samedi 21 aout à 19:00 nous aurons l’épisode sur le Cambodge qui nous permet de mieux se rendre compte de l’esprit, de la culture et des coutumes de ce pays très pauvre mais également très accueillant et souriant. Un documentaire à ne pas rater donc pour avoir un petit aperçu de l’atmosphère cambodgienne, même si bien sur, 52 minutes ne suffisent pas pour se faire une idée complète.

Le résumé de j’irai dormir chez vous au Cambodge ( récupéré sur le site de France 5 ):
Antoine de Maximy se rend au Cambodge. Il y a une trentaine d’années, une terrible guerre civile, au cours de laquelle près d’un quart des Cambodgiens a perdu la vie, a déchiré le pays. Aujourd’hui, bien que les criminels de guerre n’aient jamais été jugés, la paix est revenue mais à quoi ressemble un pays où plusieurs millions de mines antipersonnel deviennent une menace permanente ? Antoine se rend tout d’abord au temple d’Angkor. Un rapide tour d’horizon lui apprend que ce n’est pas le meilleur endroit pour rencontrer les autochtones. Il se dirige alors vers le lac de Tonlé Sap, où les gens vivent sur de petites barques et dans des maisons sur pilotis. Une famille est en deuil. Il a la surprise d’être invité à l’enterrement et passe la nuit sur le bateau. Puis il se rend à Battambang, une des plus importantes villes du pays, où il rencontre une équipe de démineurs. C’est là qu’il goûte une boisson locale au fond de laquelle repose une quarantaine de mygales. Il trouvera l’hospitalité dans un monastère, où il passera la soirée avec de jeunes moines. Son périple s’achève à Ban Lung, près des frontières du Laos et du Vietnam. Cette petite ville est déroutante. C’est la saison des pluies et les rues qui ne sont pas goudronnées sont envahies par la boue. Antoine décide de louer une moto pour atteindre des endroits plus reculés…

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